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Le 27 décembre 2003, par AnCé,
dans Hiver 2003
Il est 8 h 20, mardi 23 décembre, dans un grand centre commercial de la banlieue lyonnaise... je suis noyée dans une mer de chariots...
Mais comment a-t-elle fait pour se retrouver dans une pareille galère allez-vous me dire ?
Simple, je vous explique : ce 23 décembre, c’est le traditionnel repas de Noël dans ma boite. Et comme tous les ans c’est bibi qui s’y colle. Je dois me fournir en fromages, vin et dessert que le traiteur ne livre pas. Il me faut aussi des nappes, des serviettes, du (...)
Marie c’est tout un poème : 16 ans, élève 4ème techno et une puberté qui en fait une cause possible de révolution hormonale chez les jeunes mâles de l’établissement...
Cette future mère précoce (non, je suis méchant... Si un petit malin arrive à la convaincre que tout le monde se trompe et qu’en dehors du rectum point de salut : oubliée la pilule !) est une personne simple et "gentille" (à prononcer avec condescendance) assistant à mes cours de français (j’ai dis "assiste" pas "comprend" (...)
Tout devait se goupiller à merveille : le bus arrive a Milan à 21h30, on prend le métro dans la foulée et embarque en train pour Bologne dans l’heure qui suit ! Mais l’hiver est parfois traitre et vil quand il s’agit de traverser les Alpes en bus...
Une tempête de neige et deux heures plus tard, à la gare, le dernier train est parti... Misère !
"Le prochain est à 6h du matin, mais si vous prenez un ticket vous pouvez rester dans la gare, elle ferme à minuit" nous explique la Polizia... (...)
En décembre, il y a quelques années, lors de la remise des bulletins de premier trimestre aux quatrièmes techno, j’eus la charge de recevoir la maman de J. Cette dernière nous était connue par ces quelques coups de téléphone et visites durant lesquelles l’air ambiant devenait l’équivalent d’un spiritueux à 12° ... comment vous dire ... elle n’aimait pas le Perrier.
J. était un adolescent pour qui l’école n’était visiblement rien d’autre qu’un endroit abritant de la pluie l’hiver et des UV (...)
Ou comment transformer une corvée en calvaire...
J’ai faim. Oui c’est triste à avouer mais... j’ai faim. Ce qui me fait prendre conscience d’une terrible menace sur ma vie entière : je vais avoir faim plusieurs fois dans la même semaine. Je me résigne donc : il va falloir faire des courses.
Direction le Leclerc du coin et là, première inquiétude. Je ne suis pas seul à avoir eu cette idée stupide : avoir faim un samedi... Mais bon, pas le choix. J’ai bien pensé appeler le magasin pour une (...)
Le 21 février 2004, par AnCé,
dans Hiver 2003
Voilà c’est vendredi soir, alors pour se détendre, avec mon amoureux on décide de se faire une petite sortie...
Et on donne rendez-vous à quelques potes dans un bar qu’on adore. On aurait dû se méfier... Car les copains ne peuvent venir, Madame a la migraine, Monsieur est crevé de sa semaine de boulot... Bref on est tous les 2 devant le bar... Il est archi plein ! Tant pis, va pour un petit resto réputé "bon et sympa". Entrée, quelques minutes d’attente, personne à l’horizon, mais le (...)
Nong Khai est une petite ville du Nord-Est de la Thaïlande accoudée au Mékong. Elle aurait donc pu s’appeler Nong Khai sur Mékong.
Voire Nong Khai sur Mère, puisque "Mae Khong" signifie "le fleuve mère".
La scène se passe au mois de juillet, au début de la saison des pluies. A cette période de l’année, on peut trouver à Nong Khai un fleuve, gonflé par les averses. Des moustiques, voraces, toniques et qui peuvent se reproduire comme des bêtes, vu qu’ils savent qu’ils ne manqueront pas de (...)
Sur une grande place bondée de monde, devant une scène illuminée qui nous saupoudre de musique. Nous sommes place de la Bastille...
... pour la grande célébration du 25 août, jour de la libération de Paris. Nous avons vu arriver la procession de militaires de 1944. Engoncés dans des costumes et juchés sur des chars d’époque. Nous avons entendu le maître de cérémonie, Jérôme Savary, lancer plusieurs airs connus. Des chansons populaires françaises et des morceaux de swing ou de big band. Nous (...)
Petite aventure vécue récemment ou quand l’imaginaire vient pimenter de manière plus ou moins agréable notre réalité.
Le mois dernier j’ai transféré mon compte de la Société Générale à la CIC. De temps en temps je passe donc à la CIC pour y emmener chèques ou espèces, ce qui ne change pas vraiment du quotidien à la SG. Et finalement on se rend compte trop tard que toutes les banques se ressemblent et qu’un chèque refusé ou un prélèvement rejeté vont terminer de nous achever. Rien de (...)
Un samedi sur deux, ma moitié et moi, allons faire nos courses à Leader Price. La semaine dernière, je constate, bien malgré moi, que régler par chèque est devenu plus compliqué que de franchir les douanes américaines.
Ce samedi, dans l’après-midi, nous arrivons dans notre mini supermarché. La place est connue, nous traversons rapidement les rayons qui sont sans fioriture. Chariot débordant, nous nous dirigeons vers la caisse. Un par un, la caissière fait passer nos articles devant son (...)
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