Le 29 avril 2006, par Rico ,
Je dormais paisiblement, seul dans ma chambre. Tranquillement installé dans les bras de Morphée je revassais quand je fus réveillé par des sortes de grincements. Je me mets en alerte quelques secondes, puis plus rien. je me rendors. Quelques temps plus tard, les bruits recommencent, j’attends un peu, toujours rien. Bizarre ces bruits....
Quelques temps plus tard, les bruits recommencent, j’attends un peu toujours rien. Bizarre ces bruits...
C’est rien de grave, rendors toi, je me dis. Sauf que les bruits recommencent et plus près cette fois.
Bon là, décidé, j’allume ma lumière pour en avoir le coeur net. C’est peut être un chat qui s’est glissé par le vélux, on ne sait jamais.
Mais malheureusement ce n’était pas un chat qui se tenait peinard à 2 mètres de mon lit, mais un bon gros rat gris !!!
Je lache un terrible cri primaire (heureusement j’etais seul), le rat s’enfuit dans la chambre et se cache sous une armoire.
Là, grosse panique, j’essaie de le coincer, de le choper mais la bête est vivace et moi mort de trouille.
Dernier recours, je vais chercher mon voisin en calecon- claquettes pour lui demander de l’aide.
A ma vue et à mes explications il me prend pour fou, vérifie mon haleine, mes yeux. Rien à signaler : c’est parti pour la chasse au rat !
On remonte dans mon appart et on prend des munitions au passage : un balai et une boite à gateaux en fer, dérisoire mais efficace.
Plein de courage, on déloge le rat de dessous l’armoire pour le coincer dans la boite. Il se débat, s’extirpe, joue avec nos nerfs et finalement au bout de vingt longues minutes de bataille on enferme la bête pour finalement la rejeter plus loin dans la rue.
Ouf débarrassé !