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C’est sûr, on peut voir ça comme une folie. Mais bon, je ne fais pas ça souvent. En plus, j’aime l’ambiance des grands magasins parisiens.
...Et dans le rayon peluches du BHV de Paris, soyons francs, je deviens totalement gâteux. Me voilà donc en train de faire la queue à la caisse, au milieu de nombreux autres clients. C’est le soir. Dernières minutes avant la fermeture. Je porte sous le bras une majestueuse panthère noire, à la fourrure incroyablement douce, tellement grande qu’elle gêne (...)
Le 17 décembre 2002, par SmÔg,
dans Hiver 2002
Je comprends mieux pourquoi les vendeurs peuvent être désagréable à la fin d’une journée...
On est au Caroussel du Louvre en train de faire une exposition... il fait beau sous les spots du troisième sous-sol et il y a autant de monde que sur la plage de saint-trop au mois d’août...
Notre boulot, c’est de montrer aux gens ce qu’on sait faire, à eux de jouer les touristes et de nous poser toutes les questions de circonstances...
On peut se permettre de faire des conclusions sur le (...)
Je suis en train de penser à un sketch des "Deux minutes du peuple", dans lequel Roger, un employé de bureau très maladroit et timide, essaie d’aborder sa collègue Caroline...
Il répète sa phrase dans sa tête, jusqu’à en avoir le tournis : "Caroline, depuis le temps que je te dis bonjour dans le couloir, je me suis dit, je la déteste pas et si ça la dérange pas je vais l’appeler...". Il est au bord du craquage nerveux, il s’embrouille, quand soudain la fille décroche : "Caroline, depuis le (...)
Hier, j’ai mangé une papillote ; une au chocolat avec une blague à la con dedans. C’est une anecdote un peu banale en cette période. Mais cette friandise m’a été donnée avec deux histoires. C’était un peu long, j’en ai mangé quatre.
En dégustant la première, je m’étonnais d’avoir vu, dans un pauvre bar à poivrot de la Croix-Rousse, un énorme saladier de papillotes d’une bonne marque locale mis à la disposition du client, sûrement pour lui faire passer le goût infâme du café ; but de ma (...)
"On revient toujours sur le lieu de son crime" comme dirait l’inspecteur canardo ou coloumbo, je sais plus. Enfin, moi j’ai pas commis de crime. Pas de forfait, je marche dans la rue c’est tout.
Marabout’d’ficelle ! C’était vers chez moi ya un an ici ! Alors Je marche. Beaucoup même... En terrain connu. Les vacances à Paris, c’est le pied ! Il fait nuit, froid. Je me dépêche, je suis en retard. Après un bon moment de ravissement en compagnie du castor qui donne le bain à son pitit bébé... (...)
Nous apprentis SDF Lorient - Festival Interceltique , été 1990... 91 ?
Pas facile à dater tout ça... Beaucoup de brouillard...Hum. On arrive de Vannes avec Hugo et on se fait déposer en voiture par maman. On va pas aller au camping gratuit du festival... ca craint, Parait que ya eu un meurtre et tout. Bah, on dormira à la belle !
On déambulle et on finit par s’endormir : chacun notre banc et notre bouteille de Chouchen... Jusqu’ici tout va bienZZZ... Mais là en plein milieu de la nuit, tout à coup, il fait vraiment trop trop froid : la congélation éthyllique ! (...)
"Old pirates yes they rob I - Sold I to the merchants ships - Minutes after they took I - From the bottomless pit..."
J’étais en train de finir la vaisselle avec un des mes acolytes, quand j’ai entendu cette chanson venir du réfectoire, accompagnée à la guitare. C’était un de nos hôtes africains qui la chantait, suivi en chœur par des amis à lui. C’était le soir, je me tenais sur le perron de ce petit bâtiment délabré où l’on faisait la vaisselle, sur ce campus gris, vide pendant l’été (à (...)
Il a fallu quitter Lyon et mettre un terme à des vacances qu’on ne se résignait pas à avoir loupées. Adieu les châteaux, les montagnes, les villages en Espagne. Merci la neige, la tempête et le froid, sans qui, peut-être, ce flop n’aurait pas été aussi réussi.
La Renault 9 est toujours aussi verte et rectangulaire. Le chauffage hésite toujours à nous cramer les pieds ou nous glacer le nez. Tout est dans l’ordre. Nous ne fonçons pas sur l’A6 direction Paris. Non, nous nous dandinons sur la (...)
Nous sommes le six du mois, il ne me reste que quelques jours pour régulariser ma situation auprès des assedic. J’ai déjà deux mois de retard dans mes papiers ; je n’ai plus le choix, je dois y aller... Mais après tout, jusqu’à maintenant je ne suis tombé que sur des employés compétents ; pourquoi ca changerait ?
Il fait froid, quatre stations de métro, un escalator, deux passages piétons, quelques trottoirs et j’arrive dans le hall glacé de l’institution pour les sans-emploi du premier et (...)
L’action se passe en Loire Atlantique, à Préfailles, petite station balnéaire au bord de la mer, à côté de Nantes. Cela faisait une heure que je n’avais pas attrapé une seule vague à surfer avec mon petit bodyboard.
Trop de monde à l’eau, jamais bien placé. Pourtant les vagues étaient belles. Un bon mètre cinquante, qui formait des "tubes" sur les plus grosses d’entres elle. J’essaye de partir sur une vague assez grosse et la lèvre de celle-ci au lieu de me recracher vers le bas m’aspire (...)
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