Le 25 novembre 2002, par gabzéta,
Je comprends pas trop, la chaussure là, elle me plait, je voudrais l’acheter... mais yen a qu’une. Pas de boite, juste plein de chaussures en un exemplaire sur le rayonnage... ?! je tourne 5 minutes, vais demander : "oui, la deuxième chaussure on la récupère à la caisse !"... d’aaaccord, ca c’est de l’anti-vol !
Bon evidemment, à la caisse, ya pas l’étiquette, les vendeuses (deux pour moi tout seul !) s’acharnent, essayent avec plein de chaussures... puis ca ya est apparemment, il faut juste retrouver la deuxième dans la reserve...
la la la... Ca fait bien 5 minutes, là... pff, c’est vraiment le bordel à mistigriff... bip bip bip... ah ! un gars vient de se faire biper en sortant l’air de rien, walkman aux oreilles... la trentaine... Il se fait attraper par le vigile avec un blouson qu’est pas le sien... il a l’air de s"en foutre... normal...ses deux potes arrivent du fond du magasin morts de rires, plutôt des masses, assez agés... le petit chef gérant commence à mechamment pourrir la gueule au vigile pour qu’il fouille les deux autres. ils ont rien - Ils sortent toujours en beuglant. Le p’tit chef est fou de rage tout seul, il veut appeller la police, du coup le troisieme larron commence à moins rigoler, le menace à moitié, ptit chef surencherit... Bon...ces chaussures...
"Je suis là"... elle est juste derrière moi, me tend la boite, l’air visiblement émue... bon je suis sympa, je lui souris et je lui fait même pas de remarque sur l’organisation et tout.
—reprise du message du 8 aout 2004 effacé par erreur avec la pile habituel des trolls de mistigriff--- :-p
Je suis client de ce genres de magasins et j’avoue que je trouve le concept de Mistigriff interressant. Cependant, l’ affluence de marchandises et le manque apparent de personnels ne favorisent pas la mise en valeur des produits.
Si tu as décidé de rentrer chez Mistigriff prévient tes proches et garde bien en tête ta mission, car tu es seul,dans la jungle et plus personne ne peut plus rien pour toi, tu es seul avec toi même.Fais un peu de yoga une semaine avant, prends des provisions et tout ira bien,car là bas, c’est chacun pour soi, et à peine avoir franchi la porte d’entrée : c’est l’enfer, une chaleur suffoquante vous empêche d’avancer,vous trébuchez sur un panier plein à craquer puis vous tomber, mais vous vous relever aussi sec, un peu comme Mel Gibson dans brave heart en disant : bon dieu, qu’est ce qu’il fout là ce panier, merde ! Le vigil à l’entrée me regarde sans sourciller, il doit avoir l’habitude, et me dit séchement : "faut déposer votre sac" , mais,jai pas de sac ! Alors je me dis qu’ il doit sûrement réagir mécaniquement, et je m’esquive pour m’enfoncer dans le rayon ouest,. A l’assaut !...chaque seconde qui passe,je me rappelle sans cesse dans ma tête ma mission : TROUVER UN JEAN taille 40 ! et j’avance tête baissée survolant l’ amas qui jonche le sol constitué de débris de vêtements et de clients décomposés. Je rélève la tête : "...taille 40"... Oui, Oh non...NON, je suis au rayon chaussure, merde ! faut que je recommence mais cette fois j’irai au sud...aprés quelques heures je décide de chercher le rayon boussoles et là... OUIIII j ’y suis suis ...mais je dois avouer que j’y suis arrivé par hasard : Le rayon futales homme est là, devant moi tel un panthéon aux pantalons, enfin c’est juste un rayon, mais quand tu en as fait la quête de toute une vie, un tas de breloques devient la huitième merveilles du monde ! reste encore à trouver ta taille...là en général, tu t’assied et tu pleures... tout seul..aprés seulement tu cherches, et si tu trouves doit encore essayer ton vêtement, est là, c’est le choc : 3 cabines pour un magasin de plus de 300m2 et une seule équiper de miroir,mais il faut tenir bon, car on n’est venu pour rien, alors on essaye le pantalon et bien evidemment il ne va pas puiqu’on a pris notre taille en taille americaine, et à moins de se taper 200 hamburgers on est comme en apesenteur dans le fute.Furieux j’ enlève le pantalon et vais le reposer en rayon, oh et puis non je le laisse tomber par terre là juste sur le gros tas, l’employé ramassera ! Aprés avoir répeter cette opération 5 fois pour trouver ma taille, il n’y a plus qu’à payer. Enfin je sais qu’il ne me reste qu’une seule étape sur mon parcour : La caisse, si elle existe, moi je sais qu’elle existe je l’ai vue : oui, là bas au bout de la file d’attente de 20 mètres de long, là bas, l’espoir existe, reste qu’a attendre... La légende dit qu’un homme a réussi à acheter un vêtement en moins de 15 minutes, j’y crois parceque c’est moi !
Je suis d’accord pour acheter moins cher, mais quand même ! Les dirigeants de la société devraient un peu repenser leur maniére de présenter les produits et de recevoir leur clients. En tout cas bravo aux équipes qui font un boulot difficile dans des conditions difficiles et bon courage à tous.
Hum... ça m’a l’air d’un message de troll, posté en réalité par le patron du magasin. Qui s’est mis au langage texto pour l’occasion. :-D
Si ce n’est pas le cas, ne vous vexez pas, c’est juste de l’humour.