Une voiture c’est comme une femme
Le 28 septembre 2003, par gabzéta, Lyon
A fond en vélo sur le boulevard ! A droite, Deux voitures garées, un gros chien qui court de l’une vers l’autre, il saute sur son maitre, »Bin oui mon gros chien ! », puis met ses grosses papattes sur la portière arriere de la caisse… Panique ! Maimaitre le chasse de là et frotte sa tuture, la sueur au front.
Moi, ça me fait bien rigoler ! Ca me rappelle au début du mois, le matin de « formation » à l’usine… Blabla sécurité, propreté, solidarité, et même management voire économie !! le tout pendant six heures ( !) Pour un peu je me croirais dans un vrai entretien d’embauche, ou j’ai volontairement postulé, motivé et tout. Puis on visite nos futures machines de travail, on est deux interimaires, le chef se la joue cool, ouvert au dialogue… Une usine modèle, quoi, quasi-utopique. (elle fabrique des machines à laver).
Une fois fini, on retourne vers la salle de formation et les autres interimaires. Comme ya personne, on stationne nonchalament au parking, assis sur un capot. Mon futur collègue, sort un sandwich, m’en propose un bout, puis m’explique comment il est s’est écrabouillé le bout d’un doigt sur une machine industrielle… Beuh.
Un ouvrier arrive et nous montre du doigt sa chérie : « BEUH ! c’pas un parking ma voiture, alors pffut, oh ! » (en clair : dégage de là)
Retour sur terre immédiat : je suis bien à l’usine. Ambiance connue. Pff.